Pour que ne tombe pas dans l’oubli une culture orale millénaire, Michèle Madar a d’abord transcrit pour les générations futures, les contes et légendes judéo-arabes racontés par sa grand-mère Margueritte durant son enfance à la Goulette, en Tunisie.
Les difficultés à la convivance des différentes communautés religieuses l’ont incitée à écrire « Si seulement Abraham avait eu deux filles… », un roman pour raconter le quotidien dans la Tunisie du Président Habib Bourguiba, où se vivait le partage des coutumes selon l’adage « chacun à sa façon dans le respect de tous ». Peut-être un modèle à adopter en l’adaptant ?
Puis, emportée par le besoin irrésistible d’écrire, il lui est devenu nécessaire de témoigner aussi de son temps. Elle choisit la facétie et l’espièglerie pour décrire le sort qu’il est fait à ses semblables dans un monde cruel, en perpétuelle mutation.
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